Dans une enquête menée par l’Agence de presse du Ghana (GNA), en vue de découvrir comment certaines entreprises ont fonctionné en 2016, les vendeurs de cercueil ont exprimé leurs points de vue sur leurs ventes pour l’année. AGYEKUM DATKWAH ( vendeur de cercueils) : Tout comme nous ne prions pas pour que les gens meurent, je dois aussi avouer que notre subsistance dépend du nombre de cercueils que nous vendons dans l’année.
Le marché n’était pas bon l’an dernier, la nation ayant enregistré un faible taux de décès par rapport aux années précédentes. Ma seule prière est d’obtenir plus d’acheteurs pour mes coffrets magnifiquement fabriqués afin de rendre mes investissements fructueux cette année. J’ai employé plus de huit charpentiers, donc si le marché baisse, je ne pourrais pas les rémunérer.
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